Un étudiant de deuxième année rencontré en salle de dissection me parle, avec émotion, de la « patiente » dont le corps est entre ses mains pour l’étudier.
- « Je lui ai donné un prénom, me confie-t-il, car je ne pouvais pas la traiter comme une chose. Le soir, chez moi, je prends le temps de penser à elle. Quelle confiance elle m’a témoignée en livrant sans défense son corps à ma seule responsabilité !