Ce poème de Guillevic où il dit que la contemplation, l’accueil tenace de la "Beauté" déploient en nous une force de résistance qui s’oppose radicalement à tout ce qui abime, tout ce qui dégrade.
Ce poème rejoint la fin du "Notre Père" du fr. Bernard- Joseph d'Orval : "Sois notre intime allié dans le combat contre le noir, pour la lumière".
Ces moments où tu sens
Qu’autour de toi
Le monde souffre -
Et que faire
Sinon,peut-être,
T’attaquer à son mal
En regardant une rose
Ou ces yeux bien-aimés
Que tu sens être
Être tes complices.